Media

Articles in the Press

Laugier, S. "La Fièvre nous rend-elle meilleurs ? Éducation politique et réflexivité en séries", Fondation Jean Jaurès, 2024/4, pp. 8-13.

Pierron, S. "De Succession à The Regime, les femmes de pouvoir envahissent les écrans", Madame Figaro, 27 février 2024.

Laugier, S. "Le genre sécuritaire : quelle influence sur le monde ?", L'école des parents, 2024/1 (N°650), pp. 28-30.

Laugier, S. "Ours perfectionniste", L'école des parents, 2023/4 (N°649), pp. 26-28.

Laugier, S. "Succession: Affreux, riches et méchants", L'école des parents, 2023/3 (N°648), pp. 28-30.

Laugier, S. "Une éducation politique", L'école des parents, 2023/2 (N°647), pp. 28-30.

Laugier, S. "Naître ou ne pas être", L'école des parents, 2023/1, (N° 646), pp. 28-30.

Boursicot, F. "Que nous apportent les séries télé ?", Ça m’intéresse, avril 2023.

Jarry, M. "Succession: La série événement", Télérama, 22 mars 2023, pp. 14-16.

Boursicot, F. "Comment les séries nous rendent plus intelligents", Ça m’intéresse, avril 2023, pp. 84-87.

Laugier, S. "Les séries, outil d’éducation morale et politique", La Croix L’Hebdo, 20 janvier 2023.

Lépine, C. "Parution du livre Les Séries. Laboratoires d'éveil politique sous la direction de Sandra Laugier", blog Mediapart, 6 février 2022.

Sureau, A."Prendre au sérieux les séries", La Croix, 6 février 2023.

Corcuff, P. "Séries et renouveau politique : The Wire et les autres", blog Mediapart, 2 février 2022.

Laugier S. "Zelensky, même dans son nouveau rôle de chef de guerre, se pose en président-citoyen", Tribune, Le Monde, 23 mars 2022.

de Saint Maurice T. "Serviteur du peuple quand Zelensky jouait au président de l’Ukraine", Libération, 8 mars 2022.

Laugier, S. "La série Maid et l’intersectionnalité au secours des white trash", Libération, 13 janvier 2022.

Laugier S. "Comme les séries, les films de cinéma semblent avoir rejoint l’espace domestique", Le Monde, 13 novembre 2021.

Laugier S. et Blistène P. “L’évènement 11 septembre, expérience collective et culture contemporaine", AOC, 10 septembre 2021.

Laugier S. "Sur le campus de The Chair , la guerre est déclarée", Libération, 9 septembre 2021.

Laugier S. "En confinement du care en séries", AOC , 15 mars 2021.

Laugier S. "La nouvelle bonne vague des séries françaises", Libération, 12 février 2021.

Laugier S. "Quand dire c’est faire", Libération, 14 janvier 2021.

Laugier S. "Comment les séries prennent soin de nous ?", Madame Figaro, 18 décembre 2020.

Laugier, S. "This is us : une leçon de care", Libération, 05 novembre 2020.

Laugier, S. "Sur la deuxième vague des séries américaines féministes", AOC, 3 novembre 2020.

Laugier S. "Laetitia voyage au bout de la vulnérabilité", Libération, 24 septembre 2020.

Laugier S. "Fascisme performatif", Libération, 10 septembre 2020.

Laugier S. "Séries: un ‘shoot’ d’héroïnes", Libération, 19 juillet 2020.

Laugier S. "Du care en séries", Libération, 2 juillet 2020.

Laugier, S. "Une mort de trop", Libération, 4 juin 2020.

Laugier, S. "De Twin Peaks à Killing Eve, le long chemin des femmes dans les séries policières", Télérama, 14 avril 2020.

Laugier, S. "Homeland, Le Bureau des légendes, clap de fin", Libération, 7 mai 2020.

Laugier, S. "Le souci de l’autre, le retour de ‘l’éthique du care’", Le Monde, 2 mai 2020.

Laugier, S. "La démocratie du ‘monde d’après’", Libération, 29 avril 2020.

Laugier S. "Pour les ados, des séries comme Game of Thrones ou Friends ont quelque chose de formateur", Télérama, 22 avril 2020.

Blistène, P. "Le Bureau des légendes. Rencontre avec Pauline Blistène, auteur du podcast Une vie sous légende", canalplus.com, 10 avril 2020.

Laugier, S. "Confinement: ‘Ce qui définit la démocratie c’est la possibilité de se cotoyer’", Marianne, 6 avril 2020.

Laugier, S. "Nous défendre face au discours politique sur le Covid-19", AOC, 6 avril 2020.

Laugier, S. "Guerre au ‘care’", Libération, 2 avril 2020.

Laugier S. "Patriarcat en séries", Libération, 5 mars 2020.

Laugier S. "La vendetta des globes", Libération, 9 janvier 2020.

Laugier, S. "Les séries sont de formidables ressources pour penser la morale", Le Monde, 9 décembre 2019.

Besnard, J. "La Servante écarlate: La série s’est révélée beaucoup plus actuelle que futuriste", LaLibre, 10 octobre 2019.

Laugier, S. "Pas croyable", Libération, 3 octobre 2019.

Laugier, S. "Very Bad Trip à Tchernobyl", Libération, 20 juin 2019.

Radio & Podcasts

"L'enjeu c'est que les séries nous fassent comprendre que d'autres manières de voir et de vivre sont possibles, et c'est dans cette confrontation-là que l'on développe des compétences morales nouvelles." C'est l'idée que développe Thibaut de Saint Maurice, professeur de philosophie, chroniqueur et co-auteur du livre Les séries, laboratoires d’éveil politique (CNRS Éditions, 2023).

Emmené par la philosophe Sandra Laugier, un collectif de chercheuses et chercheurs de multiples disciplines des sciences humaines et sociales travaille depuis plusieurs années à comprendre comment les séries façonnent nos existences.

La série Serviteur du peuple fait partie de celles étudiées dans un volume collectif consacré à ce genre qui désormais façonne nos vies [les séries télévisées]. Trois des auteur.es de l'ouvrage sont invités cette semaine dans l'émission "La Suite dans les idées" et sont rejoints par l'écrivaine Sophie Maurer, également scénariste de série.

Dans Les séries, laboratoire d'éveil politique (CNRS éditions 2023), Sandra Laugier propose une réflexion sur notre société en analysant les séries: racisme, violence faite aux femmes, féminisme, risque nucléaire, et montre comment les séries contribuent à la formation morale, philosophique voire politique du public.

Lupin, The Walking Dead, The Americans ou encore Serviteur du Peuple : ces séries à succès ont conquis le monde entier. Ce sont des divertissements produits et diffusés par des plateformes suivant des enjeux industriels. On peut aussi leur trouver des qualités esthétiques. Mais, dans quelle mesure ces séries peuvent éclairer les citoyens dans la vie collective ou individuelle ?

Au-delà du pur divertissement, les séries TV sont de plus en plus souvent porteuses d'un message de société et pourraient même participer, de fait, à l'éveil d'une conscience politique. Elles permettent ainsi de redéfinir la culture populaire comme outil d'éducation morale et citoyenne.

Du lundi au vendredi, Philippe Vandel fait le point sur un sujet de l'actualité média avec un invité. Aujourd'hui, Sandra Laugier, professeur de philosophie et écrivain, pour le livre Les séries: laboratoires d'éveil politique.

Un numéro de la Revue Internationale de Philosophie sur les séries télévisées ? Est-ce bien sérieux ? Il y a encore une vingtaine d’années, cette éventualité aurait pu sembler bien improbable : l’objet relevait de la « culture populaire » et n’était à ce titre pas légitime. Puisse ce numéro contribuer à montrer que les séries télévisées, si elles relèvent bien évidemment du divertissement, méritent aussi d’être prises au sérieux par les philosophes : non seulement en leur donnant à penser, mais aussi en leur apprenant à voir et à concevoir le monde autrement.

Pris de court par la chute de Kaboul en août 2021, le renseignement américain a retrouvé sa crédibilité en annonçant l'imminence d'une invasion russe en Ukraine. Une analyse qui n'a pourtant pas été partagée par tous les services de renseignement européens. Comment expliquer ces divergences ?

Avec Pierre Gastineau, journaliste, rédacteur en chef d’"Intelligence Online" et Pauline Blistène, docteure en philosophie, et membre du projet de recherche européen Demoseries.

CIA à l'Ouest, KGB à l'Est. L'image d'espions opérant sous couverture pour le compte des puissances des deux blocs peuple notre imaginaire historique. Quel rôle ces agents de l'ombre ont-ils joué pendant la guerre froide ?

Avec Gérald Arboit, historien, directeur de l’équipe Renseignement au sein du laboratoire ESDR3C au Centre national des Arts et Métiers à Paris et Pauline Blistène, docteure en philosophie, membre du projet de recherche européen Demoseries.

Le Bureau des Légendes, première fiction française à avoir eu accès à la DGSE, dévoile un univers froid, très éloigné des habituels fantasmes associés à l’espionnage. À l’occasion de la sortie de la saison 5, le podcast "Espion, une vie sous légende" offre un point de vue unique sur la sphère clandestine de l’État à partir d’interviews de ceux qui ont créé et incarné la série, et d’experts du renseignement.

Ce podcast est produit par TOE - The Oligarchs Editions et Canal +, il a été écrit et réalisé par Pauline Blistène, Samuel Dekyndt a assuré la prise de son, Basile Catelin le montage et le conseil sonore, Antoine Caracci l’habillage et le mixage.

N'en déplaise à ceux qui voient dans les séries, le nouvel opium du peuple, les séries, du fait de leur sérialité et de l'attachement aux personnages qu'elles impliquent, peuvent nous transformer et nous faire du bien...

Il y a dans les séries qui sont produites depuis une trentaine d’année, un changement de braquet, à la fois quantitatif et qualitatif qui a profondément modifié la place des séries dans nos vies. Les séries, on en parlait peu, voire pas du tout avant et elles avaient pour principale fonction de boucher les trous des grilles de programme des chaînes de télé. Aujourd’hui elles sont devenues un véritable genre artistique, à part entière, de plus en plus autonome.

Par Thibaut de Saint Maurice, pour le podcast "Philosophie".

Elle est philosophe, spécialiste de ce qu’on appelle en anglais l’éthique du "care", le soin, la sollicitude, l’attention aux autres. Elle a aussi une connaissance encyclopédique des séries télé.

Quatre-vingts secondes ce matin sur l’article que Sandra Laugier consacre à la manière dont les séries, en confinement ou sous couvre-feu, ont pris soin de nous.

Héritière du philosophe Stanley Cavell, dont l'enseignement l'a marquée en profondeur, pour Sandra Laugier la philosophie se loge dans les détails du langage, de la voix, des compétences ordinaires, mais aussi dans le cinéma, et aujourd'hui dans les séries télé.

Pour le podcast "Les Chemins de la Philosophie", Adèle Van Reeth reçoit Sandra Laugier.

Dans Big Little Lies sur TF1, dans Laëtitia sur France 2 mais aussi dans I May Destroy You ou La Servante écarlate… Ces dernières années, les fictions sont nombreuses à s'être emparées du sujet sensible des violences faites aux femmes. À cette occasion, Eva Roque s'interroge dans l'épisode 3 du podcast "Serielande" sur l’évolution de leur représentation dans les séries. Autour de la table, elle reçoit Jean-Xavier de Lestrade, réalisateur de Laëtitia et Sandra Laugier, philosophe férue de séries.

Mrs America, série prodigieuse qui revient sur les combats féministes des années 70 à travers le prisme de Phyllis Schlafly, figure de proue de l'anti-féminisme aux Etats-Unis... alors que l'Equal Right Amendment n'est toujours par ratifié, que dit cette série du statut des femmes ?

Avec Laure de Clermont-Tonnerre, réalisatrice des épisodes 5 et 6 de Mrs America, Iris Brey, critique de cinéma, essayiste qui a signé Le regard féminin, une révolution à l'écran (Editions de l'Olivier, 2020), et Sandra Laugier, philosophe, professeure à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste du féminisme et de l'éthique du care au cinéma, elle signe Nos vies en séries (Flammarion, 2019).

Les séries ont-elles pour le pouvoir d’influencer notre vision du monde et de bousculer nos valeurs morales ? D’où vient leur pouvoir d’attraction ? Sur les questions de société et de politique, les séries seraient-elles en avance sur leur temps ?

Avec Mam Rokhaya Ndoye, sociologue, spécialiste en socio-anthropologie des arts et de la culture et en sociologie filmique. Membre du centre de recherche ISA de l’Université de Grenoble, Amélie Ferey, chercheuse au centre des études de sécurité de l’IFRI et coordinatrice du laboratoire de recherche sur la défense, et Sandra Laugier, professeure de philosophie à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Pierre-Edouard Deldique reçoit la philosophe Sandra Laugier dans l'émission "Idées", pour son livre Nos vies en séries. Les séries, une nouvelle école de philosophie.

Comment les séries télévisées peuvent-elles nous influencer ? Sandra Laugier étudie les répercussions politiques et sociales de ce nouveau média culturel de masse dans Nos vies en séries.

"Le mode de création de la culture est de toute façon capitaliste. Mais ce qui est plus surprenant, c'est que la production d'Hollywood est toujours orientée vers des valeurs qui sont progressistes, contestataires, et s'inscrit dans un travail de mise en valeur des injustices présentes et passées." (Sandra Laugier)

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"Succession : Les vieux s'accrochent et l'ancien monde résiste"

Depuis 2018, ils sont devenus LA famille qu'on adore scruter, analyser, détester, mépriser. Celle qu'on déteste adorer ou l'inverse, c'est selon. À un détail près, ils n'existent pas. La saga des Roy, milliardaires magnats des médias (inspirés de la famille Murdoch) s'achève avec la fin de la série produite par HBO, Succession. Depuis son lancement, Succession n'est pas un objet télévisuel comme les autres. Oscillant entre la comédie et le drame, le boulevard parfois, la tragédie souvent, la série est déjà entrée au panthéon des grandes séries qui marqueront leur époque, au point pour certains d'appartenir au petit cercle des œuvres qui ont changé le visage de la télévision. 

"Arrêt sur images", une émission présentée par Paul Aveline, avec Sandra Laugier et Margaux Baralon et Pierre Langlais, diffusée le 2 juin 2023.

"Bureau des Légendes : Démythifier l'ordinaire du renseignement"

Des espions dans leurs vraies vies, des espions pères et mères de famille, des espions avec des histoires d'amour et des pots d'anniversaire au bureau... La série Le Bureau des Légendes sur Canal + est venue bouleverser l'imagerie dominante, en France, des agents secrets à la James Bond. Bonne affaire pour la DGSE ? Y a-t-elle prêté la main, voire l'a-t-elle impulsé ? Autrement dit : le Bureau des Légendes est-il une opération de soft power des renseignements français, et Mathieu Kassovitz un vrai agent secret ?

"Arrêt sur images", une émission présentée par Daniel Schneidermann et Juliette Gramaglia, avec Pauline Blistène et Pierre Gastineau, diffusée le 4 janvier 2019.